Comment est constituée votre équipe ? Combien êtes-vous dans votre équipe ?

Notre équipe s’agrandit de jour en jour. Nous sommes aujourd’hui 8, divisés en 3 pôles : 

  • marketing et développement 

  • conseillers

  • chargés de projets

Les pôles Marketing et Conseillers siègent à Paris et les chargés de projets sont situés dans chaque ville dans lesquelles nous réalisons des projets d’investissement immobilier locatif. 

Nous travaillons ensuite avec des partenaires : notaires, agences immobilières, artisans…

Comment calculez-vous le rendement brut d’un investissement ?

Pour calculer la rentabilité d’un investissement, nous appliquons la formule suivante :

Loyer annuel / (Prix FAI négocié + Travaux de rénovation)

NB : Nous choisissons d’inclure les travaux dans le calcul du rendement brut car nous estimons que nous ne pouvons pas comparer le rendement d’un bien délabré et d’un bien en parfait état. Un bien délabré aura beaucoup de mal à se louer ce qui n’est pas une vision juste de votre investissement.

Puis-je visiter mon futur investissement avant d’acheter ?

87% de nos investisseurs ne visitent pas les biens qu’ils achètent avec nous. Nous le faisons à votre place. Nous visitons systématiquement toute opportunité avant de vous la présenter. Afin de vous permettre d'investir à distance, nous réalisons en plus pour vous :

  • Un rapport détaillé de chaque opportunité que nous sélectionnons, c’est ce que nous appelons la “fiche projet”

  • Une vidéo de la visite que nous réalisons

  • Un plan 3D du bien pour vous permettre de vous projeter plus facilement

  • Et même parfois une visite virtuelle en 3D !

Cependant, si vous le souhaitez et que vous le pouvez, nous serons ravis de vous organiser une visite ! La phase de préparation du compromis est même prévue à cet effet : une fois l'offre d'achat signée (accord trouvé avec le propriétaire sur le prix), avant de signer le compromis de vente.

Cela prend généralement 1 à 2 semaines pour terminer l’expertise juridique et technique du bien que nous vous avons sélectionné. Nous récoltons l’ensemble des documents sur le bien et la copropriété et analysons le tout pour vous. Une visite peut s’organiser à ce moment là !

Comment choisissez-vous vos partenaires ? Puis-je choisir moi-même l'entreprise chargée des travaux, le notaire et l’agence de gestion locative ?

Nous choisissons nos partenaires en fonction de leurs performances, de leur réactivité, de leur professionnalisme et de leur capacité à répondre notre demande.  

Concernant l’entreprise de travaux vous devez également passer par nos partenaires pour une raison simple : le respect des délais et des coûts. C’est également pour vous, comme pour nous, la garantie d’un résultat final de qualité.

C’est pour ces raisons que vous ne pouvez pas choisir le notaire et l’entreprise chargée des travaux. Nous avons des partenaires notaires dans chaque ville que nous proposons, afin d’assurer un suivi rapide des dossiers. Il en est de même pour nos partenaires travaux. Ils collaborent avec nous depuis plusieurs années, répondent à nos attentes et respectent nos délais.

En ce qui concerne l’agence de gestion locative, nous avons des partenaires dans chaque ville, qui garantissent la mise en location la plus rapide possible avec un bon choix de locataires, et une très bonne gestion de la location. Si vous désirez vous occuper vous mêmes de la gestion locative, nous ne pourrons garantir de meilleurs résultats.

Location nue ou location meublée ? Quel régime fiscal choisir (LMNP réel, LMNP micro Bic, micro-foncier ou frais réel) ?

Temps de lecture : 4 min

Lors d’un investissement en nom propre (sans passer par une société comme une SCI par exemple), on a le choix de meubler son appartement et pratiquer de la location “meublée” comme son nom l’indique ou bien de louer son appartement vide et pratiquer ce que l’on appelle la location “nue”.

Sur quels critères se baser pour faire ce choix ?

  1. L’état du marché locatif où est situé votre investissement : quelle est la cible de locataires que vous souhaitez attirer ? Une location meublée conviendra davantage à des étudiants ou jeunes actifs, tandis que la location nue attirera naturellement davantage des jeunes couples ou personnes à la situation plus établie.

  2. Votre stratégie d’investissement : souhaitez-vous réduire vos impôts ? Souhaitez-vous construire un capital sur le long ou court-terme ? Possédez-vous déjà d’autres investissements ?

  3. Le résultat fiscal de l’opération : selon votre projet, votre situation financière personnelle, nous modélisons l’imposition générée par chacun des différents régimes. Suivant le résultat, nous vous conseillons d’opter pour le régime optimal.

Concrètement qu’est-ce que cela change ?

  • Le loyer pratiqué n’est parfois pas le même. Tout dépend du marché dans lequel le bien se situe. Il arrive que l’on loue plus cher un bien meublé. Nos investissements chez Bevouac sont meublés bien au delà du minimum requis par l’administration fiscale. Nous y ajoutons décoration d’intérieur, tous les équipements du lave-linge au kit d’entretien en passant par les couverts et autres ustensiles de cuisine, le locataire n’a plus qu’à poser ses valises et s’installer. Cela peut permettre de louer plus cher.

  • Suivant le régime que vous choisirez, un même projet peut générer plusieurs dizaines de milliers d’euros d’impôts par an comme aucune imposition pendant plusieurs années, d’où l’importance de faire le bon choix. Nos conseillers sont experts en la matière et suivant les résultats des simulations, vous guiderons dans le choix du régime optimal.

Dans nombre de cas, nous optons pour la location meublée au régime LMNP au réel car ce régime, très favorable, permet souvent de ne pas payer d’impôts sur son investissement durant de nombreuses années.

Dans la pratique, nous avons répertorié dans le tableau ci-dessous toutes les différences entre la location meublée et la location nue :

Location nue

Location meublée

Durée du bail

3 ans renouvelable par TR (tacite reconduction)

1 an renouvelable par TR (tacite reconduction)

>9 mois possibles si le locataire est étudiant

Préavis avant congés

  • Préavis de 3 mois pour le locataire
  • Préavis de 6 mois pour le propriétaire avant l’échéance triennale
  • Préavis de 1 mois pour le locataire
  • Préavis de 3 mois pour le propriétaire avant l’échéance annuelle

Conditions de reprise par le propriétaire

  • Congé pour vendre
  • Congé pour habiter (propriétaire, conjoint, ascendant ou descendant)
  • Reprise pour motifs légitimes et sérieux ie : (impayés, défaut d’assurance, troubles de voisinage)
  • Locataires de plus de 65 ans protégés sous conditions de ressources

Idem (sauf assurance)

Clause résolutoire

Résiliation automatique du bail :

  • 2 mois après un commandement de payer infructueux en cas d’impayés
  • 1 mois après commandement infructueux en cas de non souscription ou non présentation d’une assurance locative
  • 1 mois après commandement infructueux en cas de non versement du dépôt de garantie

Idem (sauf assurance)

Dépôt de garantie

1 mois

2 mois maximum

Fiscalité

Revenus Fonciers - Déclaration 2044

Déduction des déficits sur le revenu global dans la limite de 10 700 euros

Revenus nets  soumis au prélèvement sociaux (CSG + CRDS)  et IR (impôt sur le revenu)

Revenus industriels et commerciaux - Déclaration 2042

Déduction des déficits sur les revenus de même nature

Revenus nets  soumis au prélèvement sociaux (CSG + CRDS) et IR (impôt sur le revenu)

Limites

  • Fiscalité moins avantageuse que la location en meublé
  • Propriétaire engagé sur une plus longue durée
  • Achat des meubles
  • Suppose une gestion plus dynamique
  • Vacance locative et dégradation potentiellement plus importante (plus de turn-over)
  • Assurance par le locataire non obligatoire en meublé


Il faut répondre à certaines conditions pour pouvoir opter pour certains régimes. De manière plus détaillée voici un tableau comparant les différents régimes fiscaux en nom propre :

Location nue

Location meublée

Régime micro-foncier

Régime réel

LMNP Micro BIC

LMNP Frais réels

  • Vos revenus locatifs doivent être inférieurs à 15 000 €
  • Possibilité d’obtenir un abattement forfaitaire de 30% sur les revenus (intéressant si les charges sont inférieures à 30% des revenus)
  • Possibilité d’opter pour le régime réel
  • Simplicité de déclaration
  • Limite du déficit foncier plafonné à 10 700 € annuels (surplus éventuel de déficit peut être reporté sur 10 ans).  Le contribuable a le choix de déduire le montant du déficit de ses revenus globaux ou de ses revenus du même type
  • Déduction des charges réelles et des loyers bruts (travaux de réparation/amélioration , charges de copropriété, assurance, TF, intérêts d’emprunt)
  • Le régime réel est une option irrévocable pour 3 ans
  • S’applique de plein droit quand les loyers sont supérieurs à 15 000 € ou pour les biens exclus du micro-foncier
  • Déclaration de revenus 2044 à annexer à la 2042
  • Revenus de l’année précédente ne doivent pas dépasser 70 000 € (location meublée classique)
  • Forfait de 50% des revenus peut-être déduit au titre des charges
  • Il n’est pas nécessaire de tenir une comptabilité, simplicité de ce régime
  • Déclaration 2042
  • Utile si vos charges ne dépassent pas 50% des recettes et si vous avez peu de charges réelles
  • Pas de travaux ou  achat cash
  • L’inconvénient est que vous ne pouvez pas faire d’amortissement.
  • Sur option auprès des services fiscaux (déclar. 2031)
  • Option pour un minimum de 2 ans (renouvelable)
  • Tenue d’une comptabilité obligatoire
  • Déduction de l’amortissement du bien (meubles et immeuble) et des charges réelles supportées dans l’intérêt de son activité
  • Régime réel obligatoire en cas d’indivision (pas de micro) ou si les locations sont soumises à la TVA
  • Déclaration 2042
  • Utile si vos charges dépassent 50% des recettes. Il est avantageux car il permet de déduire l’amortissement du bien (meubles et immeuble) et déduire les charges réelles (=hors capital remboursé soit intérêt compris)
  • Vaut-il mieux acheter en société ou en nom propre ?

    C’est à vous selon vos objectifs et votre situation de voir le modèle le plus adapté à votre cas. Sinon nos conseillers sont là pour vous apporter cette réponse. En général on conseille d’investir via une société si l’objectif est de transmettre un patrimoine et d’investir à plusieurs. 

    Voici un tableau détaillé des avantages et inconvénients des deux type de détention  :

    En nom propre Détention via une société
    Avantages Fiscalité : Le statut LMNP permet de déduire tous les frais au réel et de déduire un amortissement annuel du bien Plus values de cession imposées au régime des particuliers Statut LMP non soumis à l’IFI
    Patrimoine : Possibilité de démembrement (en conservant l’usufruit et en cédant la nue-propriété par exemple)
    Globalement : Simplicité : peu de formalités Moindre coût
    Fiscalité : Possibilité de déduire chaque année l’amortissement du bien. Fiscalité réduite pendant la détention du bien (imposition des bénéfices au taux réduit de 15% jusqu’à 500 K puis à 28% en 2020, 26.5% en 2021, 25% en 2022) IFI : Décote possible de 10 à 20% sur la valeur des biens détenus via des titres de société
    Patrimoine : Transmission facilitée via une société avec la transmission des parts et non du bien lui-même Possibilité de démembrer les parts de la société
    Globalement : Souplesse dans les décisions et meilleur contrôle de la gestion qu’en cas d’indivision Responsabilité limitée aux apports en SARL/EIRL
    Inconvénients Fiscalité : Limite de déficit foncier de 10 700 euros pour la location nue en régime foncier. En LMP ou LMNP : imputation du déficit sur les revenus de même nature (revenus locatifs) mais pas sur le revenu global
    Patrimoine : Transmission du patrimoine soumise aux droits de succession Globalement : Lourdeur et difficultés de gestion en cas d’indivision Responsabilité sur l’ensemble des biens personnels
    Fiscalité : Double imposition au niveau des bénéfices de la société et au niveau des dividendes perçus par les associés Fiscalité accrue lors de la cession du bien : les amortissements sont réintégrés et les plus-values taxées comme un bénéfice exceptionnel au taux de l’IS. Pas d’abattement pour durée de détention. La rémunération du dirigeant est soumise à des cotisations sociales En SARL, l’option pour le régime d’imposition à l’IR n’est valable que pour une durée de 5 ans
    Patrimoine : Transmission des parts de société soumise aux droits de mutation
    Globalement : Manque de liquidité : difficultés à revendre les parts en dehors de la famille ou des associés Formalisme important : statuts, Assemblée Générale, tenue d’une comptabilité Coûts de création et de suivi Location meublée limitée à 10% des revenus dans une SCI à l’IR En SARL à l’IR seule la location meublée est possible (pas de location nue) Responsabilité civile et pénale du dirigeant en SAS et SASU Responsabilité sur l’ensemble des biens personnels en SCI

    La gestion locative est-elle obligatoire?

    Non elle n’est pas obligatoire mais recommandée d’autant plus si vous n’êtes pas sur place pour gérer.

    Vous pouvez effectivement gérer vous-même votre bien mais la gestion locative reste chronophage.

    De plus, passer par un autre acteur que notre agence partenaire est peu intéressant car nous avons négocié un tarif favorable grâce aux volumes de clients que nous leur fournissons.

    Colocation : location à la chambre (bail individuel) ou bail solidaire : avantages et inconvénients

    Bail individuel : dans ce type de bail, vous devez diviser en parties privatives (les chambres souvent) et en partie communes. Chacun de vos locataires disposera de son propre bail qui précise ces parties privatives, son loyer et les modalités. 


    Bail solidaire : un bail solidaire correspond à un bail unique dans le cas où le logement entier est loué aux colocataires qui se partage le paiement d’un loyer total. Ils se répartissent le logement à leur convenance. En cas de départ d’un des colocataires, les locataires restants sont redevables de l’intégralité du loyer avec un bail qui se poursuit normalement dans les mêmes conditions. Le bail unique est habituellement signé avec une clause de solidarité qui empêche que le loyer soit divisible, c’est à dire qu’en cas d’impayés vous pouvez demander l’intégralité du loyer à un seul colocataire (et à son garant éventuel).

    Avantages Inconvénients
    Bail solidaire
    • Réduit les impayés : grâce à la clause de solidarité vous pouvez en tant que propriétaire vous tourner vers n’importe lequel des colocataires pour demander le paiement de la totalité du loyer. Le colocataire qui a payé pourra, par la suite, se retourner vers les autres colocataires afin de se faire rembourser
    • Possible de souscrire à une garantie loyer impayé (GLI)
    • Moins d’indépendance pour les locataires et bloquant pour les gens qui souhaitent gérer leur argent comme s'ils habitaient seuls dans le logement
    • L’entrée et la sortie des colocataires est moins simple
    Bail individuel
    • Plus simple à gérer par la suite notamment pour les entrées-sorties de colocataires
    • Bail moins facilement soumis à l’encadrement des loyers, et loyers pratiqués souvent un peu plus élevés
    • Une allocation logement plus importante pour les locataires
    • La surface légale est plus importante qu’un bail solidaire
    • Le propriétaire prend le risque de ne pas se voir payer par plusieurs ou l’un d’entre eux
    • Impossible de souscrire à une garantie loyer impayé (GLI)
    • Les colocataires ne choisissent pas leurs nouveaux colocataires ce qui peut compliquer l’entente au sein de la colocation


    Existe t-il une saisonnalité dans la location ? Y’a t-il un meilleur moment pour louer ?

    Ça dépend.

    Nos biens se louent en moyenne en 15 jours. 

    Toutefois, les mois de mai à octobre et en janvier et février (fin de semestre, passage du lycée au supérieur, période de stage…) sont plus propices à la location.

    Mais chaque bien et chaque stratégie sont uniques. Une stratégie “Placement” permettra tout de même de louer plus rapidement et engendrera une saisonnalité plus faible qu’un bien que nous avons qualifié dans la stratégie “Développement”.

    Comment me protéger des impayés ?

    Pour se protéger des impayés de loyer il n’y a pas de recette miracle. 

    Bien que rare (3% de loyers impayés en France), un impayé de loyer peut être problématique. 

    La seule méthode pour s’assurer à 100% de ne pas avoir d’impayés c’est la Garantie Loyers Impayés qui coûte en moyenne 3% du loyer.

    2 points importants à retenir concernant cette garantie : 

    • pour bénéficier de cette garantie il faut que le locataire soit solvable. Vous ne pouvez en effet pas souscrire à cette garantie et vous dire que n'importe quel locataire fera l'affaire une fois assuré

    • l’assurance garantie loyers impayés (GLI) n’est pas cumulable avec une caution sauf si votre locataire est un étudiant ou un apprenti.

    Enfin pour éviter les loyers impayés sans souscrire à une assurance, le recours à une caution, demander un loyer au prix juste et l’étude rigoureuse des documents du locataire ainsi que le choix du locataire sont également des éléments permettant de réduire les risques. Pour en savoir plus sur le sujet vous pouvez consulter l’article : La méthode pour se protéger contre les impayés de loyers

    Comment estimez-vous le loyer ?

    Les loyers que nous fixons sur nos fiches d’investissement sont fixés en collaboration avec des agences locales partenaires et la data que nous avons collectée grâce à notre expérience sur le marché. 

    Nos intérêts, les vôtres et ceux de l’agence sont donc alignés. 

    • votre bien doit se louer rapidement afin d’encaisser au plus vite vos loyers

    • L’agence de mise en location doit louer le plus vite possible à un locataire stable pour être payée rapidement

    • Garantir votre satisfaction afin que vous recommandiez notre service

    Qu’est-ce qu’un bon locataire ?

    Un bon locataire est avant tout un locataire qui paie le loyer, qui ne dégrade pas le logement et qui occupera le plus longtemps possible le logement. 

    Le travail de l’agence de location sera donc de vérifier ces critères en collectant les documents attestant de la solvabilité du locataire, évaluer son sérieux et en savoir plus sur sa situation afin de choisir la personne qui restera le plus longtemps.

    Pour qualifier un locataire, l’agence va étudier les informations du locataire (et/ou du garant lorsqu’il est étudiant) en vérifiant si :

    • ses revenus sont 3 fois supérieur au montant du loyer grâce aux 3 dernières fiches de paie, et l’avis d’imposition

    • le poste et l’entreprise et s’il n’est plus en période d’essai grâce à un contrat de travail

    • les études suivis : école, spécialité, durée. C’est parfois très utile car les agences connaissent les formations et savent les spécialités susceptibles de faire des stages à l’étranger exposant à un préavis en janvier)

    L’agence de gestion va ensuite demander les pièces d’identité, le certificat de scolarité s’il est étudiant. De part son expérience l’agence arrive également a détecter plus facilement les faux dossiers.

    NB : qu’un logement bénéficiant d’un emplacement demandé, d’un excellent rapport qualité-prix, augmentent considérablement le choix de locataires et les chances de louer votre bien à un bon locataire.

    Comment être sûr que l'appartement sera loué ?

    Notre métier est d’identifier des zones où la tension locative est forte. Il doit aussi répondre aux critères analysés sur la fiche : 

    • Part de locataires vs. propriétaires : supérieur à 60% de locataire

    • Nombre de dossiers / mise en location : supérieur à 5 dossiers en 15 jours

    • Age médian des habitants : compris entre 22 et 35 ans

    S’il ne répondent pas à ces critères et si nous avons un doute sur la demande locative nous ne validons pas le bien et il ne sera pas proposé.